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MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE ET DE L'ALIMENTATION
FRONT NATIONAL Un spécialiste de droit constitutionnel explique pourquoi il sera difficile à la candidate du FN, en cas d’élection, de rayer de la carte de France l’échelon régional…
Gilles Durand
Publié le 02/05/17 à 07h05 — Mis à jour le 02/05/17 à 08h16
Marine Le Pen, lors d'un discours le 1er mai 2017 à Villepinte — Francois Mori/AP/SIPA
Elle l’a promis. Si elle est élue, Marine Le Pen, veut supprimer les régions et, bien sûr, les conseils régionaux. En janvier 2017, la candidate du Font national affirmait vouloir ainsi «
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» qui entraîne, d’après elle, une « explosion des dépenses, une dilution des responsabilités, un enchevêtrement des compétences ».
20 Minutes a demandé à un spécialiste du droit constitutionnel si cette mesure était réalisable et dans quelles circonstances. « Possible, mais irréaliste », selon Robert Hanicotte, maître de conférences en droit public et constitutionnel à l’université de Lille-2.
Qui peut m'expliquer les conséquences de la suppression des régions tel que le propose Marine Le Pen ? Avec de vrais arguments, svp pic.twitter.com/uAtuqOrzn3
— carlillis (@carlillis78) April 24, 2017
« Juridiquement, les régions sont reconnues dans la Constitution, explique-t-il. Marine Le Pen devrait prendre l’initiative d’une révision de cette Constitution pour que ce projet voit le jour ». Or, il n’existe que deux solutions pour faire évoluer le texte fondamental de la République. « Marine Le Pen, qui est une ancienne juriste, doit les connaître », glisse Robert Hanicotte.
La première solution passe par le parlement, c’est-à-dire l’Assemblée nationale et le Sénat. « La suppression des régions doit être adoptée par les députés et les sénateurs. Or, j’imagine mal ces derniers, qui représentent les territoires, accepter de voir disparaître cette compétence territoriale ». Selon l’expert lillois, le Sénat bloquera le projet.
A l’occasion de la sortie du «
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: Tourisme et Numérique », nous avons souhaité donner la parole aux acteurs qui transforment ce secteur. Porte drapeau de la nouvelle génération de « disrupteurs », Airbnb revient pour Maddyness sur les piliers de son succès et ses plans d’avenir. Rencontre avec
Nicolas Ferrary
, Directeur France d’
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.
Qui a dit que les gens ne voyageaient plus ? Créé en 2008, Airbnb a su combler quelque 30 millions de voyageurs qui ont pu séjourner dans le million de logements disponibles sur sa plateforme. Une démarche mondiale, puisque le site communautaire revendique des logements dans plus de 34 000 villes et 190 pays.
Parmi les hauts lieux du tourisme, la France. Airbnb y compte plus de 100 000 annonces dont 40 000 en Ile de France.
Une ascension qui questionne les acteurs historiques, à savoir les hôteliers. Ils vivent l’arrivée de cette nouvelle sur un marché, comme une offensive pour conquérir des parts du gâteau.
Pourtant, force est de constater que les deux modèles sont complémentaires et donc qu’Airbnb fait tout simplement « grossir le gâteau ». C’est un fait indéniable quand on sait que le dynamisme du tourisme international est en augmentation de 5% (ce qu’affirme l’OMT). Il y a de plus en plus de voyageurs; il faut donc accroitre l’offre d’hébergement.
La différence c’est qu’Airbnb permet une expérience de voyage dans l’air du temps. Elle est à la fois plus locale, dans des villes ou quartiers biens souvent moins « touristiques ».
Michaël Puertas, un jeune Maissemiacois de 18 ans, est devenu, il y a quelques jours, Meilleur apprenti de France dans la spécialité Charpente bois.
« J’ai toujours su que je ferais un métier manuel et que j’utiliserais le bois. C’est un matériau que j’affectionne depuis mon enfance et qui se travaille facilement », soutient Michaël Puertas, 18 ans.